Sunday, July 31, 2016

Lariam 15






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Exclusif: Le scandale de Lariam - MoD ignoré des décennies d'avertissements sur les dangers de la drogue suicide de drogues que la plupart des médecins sont réticents à prescrire à leurs patients et qui est interdit par l'armée américaine met des milliers de soldats britanniques vies en danger les soldats britanniques en Afghanistan ont été donnés le médicament anti-paludéen tandis que la formation au Kenya. Elle est liée à une série de suicides et de meurtres Getty Des milliers de soldats britanniques sont mis à un risque accru de psychose et le suicide parce que le ministère de la Défense refuse de cesser d'utiliser un médicament anti-paludéen controversé qui vient d'être interdit par l'armée américaine, The Independent peut révéler. mieux connu sous le Lariam Mefloquine a longtemps fait l'objet de mises en garde sur ses effets sur la santé mentale et est maintenant utilisé seulement par une minorité de personnes voyageant à l'étranger. Au milieu de préoccupations croissantes au sujet des dangers de la drogue qui a été liée à une série de suicides et de meurtres l'armée américaine a agi ce mois-ci d'interdire son utilisation parmi les forces spéciales. La décision est venue après avoir été lié au massacre de 16 civils afghans par un soldat américain. Pourtant, les soldats britanniques sont encore donnés Lariam un médicament décrit comme un jour moderne Agent Orange par les médecins en raison de sa toxicité. En parlant à The Independent. un ancien médecin-chef a accusé le ministère de la Défense d'ignorer les avertissements répétés sur les dangers de la drogue. Lt-Col Ashley Croft, qui a servi pendant plus de 25 ans dans la Royal Army Medical Corps et est un expert sur le paludisme, a déclaré: Au cours des 12 dernières années, je disais cela est potentiellement une drogue dangereuse la plupart des gens peuvent le prendre sans problèmes, mais quelques personnes vont éprouver des difficultés et de ceux d'un petit nombre deviendront psychotiques et parce qu'il existe d'autres alternatives qui sont plus sûrs et aussi efficaces que nous devrions passer à eux, mais mes paroles est tombé dans l'oreille d'un sourd. Lt Col Ashcroft, qui a pris sa retraite en Avril, a accusé le ministère de la Défense d'être en mode déni. Il a ajouté: Le problème est que cela peut rendre les gens ont des pensées psychotiques et donc agir de manière irrationnelle et potentiellement d'une manière qui est dangereux pour eux-mêmes ou leurs collègues, ou des civils. Doxycycline et malarone sont des médicaments plus sûrs qui sont aussi efficaces pour prévenir le paludisme, selon l'officier à la retraite. Vraiment les seules personnes qui l'obtiennent Lariam sont maintenant les pauvres vieux soldats et ils ont pas le choix. Méfloquine est généralement accordée aux soldats qui servent en Afrique sub-saharienne, certaines parties de l'Amérique latine et l'Asie du Sud-est. Lt Col Croft estime autour de 2.500 soldats par an sont donnés le médicament. Lariam a été développé par l'armée américaine dans les années 1970, et approuvé par la US Food and Drug Administration (FDA) en 1989. Il est devenu une drogue populaire pour la prévention et le traitement du paludisme, mais ces dernières années ont vu devenir remplacées par les nouveaux médicaments antipaludiques, tels que malarone. Alors que la plupart des médecins du NHS recommandent maintenant que les civils qui voyagent à l'étranger prennent des solutions de rechange à Lariam avec moins d'effets secondaires, le personnel de service britanniques sont donnés peu de choix sur l'opportunité de prendre le médicament. Ceci malgré l'armée américaine interdisant Lariam pour des raisons de sécurité. Un ordre publié plus tôt ce mois-ci par le commandement des forces spéciales des États-Unis déclare: personnel médical immédiatement cesser la prescription et l'utilisation de la méfloquine pour la prophylaxie du paludisme. Il ajoute: Hallucinations et comportement psychotique peuvent se produire et continuer pendant des mois ou des années après les cas d'utilisation de la méfloquine d'idées suicidaires et de suicide ont été signalés. Cette décision intervient après une ordonnance en Juillet de la FDA pour forcer les fabricants à donner le médicament une étiquette de boîte noire, son avertissement le plus fort. La FDA a averti que certains effets secondaires neurologiques et psychiatriques peuvent durer des mois ou des années après que les gens cessent de prendre le médicament. Le sergent-chef Robert Bales, le soldat américain qui a tué 16 civils afghans en Mars 2012, avait pris Lariam tout en servant en Irak. Dr Remington Nevin, un ancien médecin de l'armée américaine et expert sur les effets psychiatriques de Lariam, qui est basé à l'Ecole Johns Hopkins Bloomberg de santé publique, a déclaré: En raison de ses effets toxiques, le médicament est rapidement devenu l'agent Orange cette génération, lié à une liste croissante de troubles neurologiques et des troubles psychiatriques, y compris le suicide durable. En plus des risques pour la santé mentale, les effets secondaires physiques varient d'une hémorragie interne au foie et aux poumons. Mais il n'y a aucun signe de l'armée britannique arrêtant son utilisation de Lariam. Un porte-parole du MoD a dit: Tous nos conseils médicaux repose sur les lignes directrices actuelles établies par Santé publique en Angleterre. Sur la base de ses conseils d'experts, le ministère de la Défense continue à prescrire la méfloquine dans le cadre de la gamme des traitements de prévention du paludisme recommandé. Il est juste l'un des traitements de prévention disponibles et n'est prescrit dans certaines circonstances, pour assurer le traitement prévu est le plus efficace. Alors que les soldats ordinaires sont régulièrement donnés le médicament, le ministère de la Défense a ordonné qu'il ne devrait pas être donné aux membres d'équipage ou les plongeurs, compte tenu des risques particuliers de ces postes. Dans son dernier guide pour les commandants, en date du 2013, il cite un risque important d'effets secondaires, ce qui pourrait dégrader la concentration et la coordination, et que tous ces personnels spéTadalistaés qui prennent ce sera inapte au service pendant trois mois. Un porte-parole du Comité de la santé publique en Angleterre consultatif sur la prévention du paludisme (ACMP), a déclaré: méfloquine est un antipaludéen très efficace et nous ne sommes pas au courant de toutes les nouvelles données qui modifient notre vision de la sécurité de la méfloquine. Il a ajouté: Chaque fois que de nouvelles preuves à propos de antipaludiques apparaît l'ACMP considère que cela fait partie de son processus continu de développement des conseils. Lt Col Croft a condamné l'ACMP pour la promotion de ce médicament comme sûr et a ajouté: Ils abritent derrière la collégialité et bougeaient coutume de cette position car il impliquerait que leur décision antérieure sur la méfloquine avait tort, et si elles devaient changer maintenant leurs conseils alors ils en tant que personnes pourraient être cités, dans les actions de blessures apporté par les voyageurs de méfloquine endommagés. Et le Dr Nevin a commenté: Santé publique Angleterre a la responsabilité de protéger le public voyageur de la menace posée par les médicaments dangereux, et devrait soigneusement reconsidérer ses recommandations à la lumière des mefloquines neurotoxicité et de son association avec le risque de lésion neurologique permanente et la mort. Il a ajouté: toxicité méfloquine est également une condition potentiellement mortelle qui est entièrement évitable par l'utilisation d'antipaludiques sûres quotidiennes. Roche, la société qui fabrique Lariam, mis en garde contre le risque de suicide il y a plus d'une décennie. Et ce Juillet, dans une lettre aux médecins en Irlande, le Dr Maria Luz Amador, directeur médical de lentreprise, a averti que le médicament peut induire des troubles neuropsychiatriques potentiellement graves et que les hallucinations, la psychose, le suicide, les pensées suicidaires et les comportements d'auto-mise en danger ont été signalés . Une déclaration de Roche a déclaré: Tous les médicaments ont des effets secondaires et nous sommes désolés d'entendre parler de ceux qui éprouvent des réactions indésirables à nos médicaments. Il a continué, les avantages l'emportent sur le risque potentiel du traitement et Roche maintient la position qu'il n'y a pas de relation de cause à effet entre les tendances suicidaires, le suicide ou l'automutilation et Lariam. Mais il a mis en garde: Lariam ne devrait pas être prescrit pour la prophylaxie chez les personnes souffrant de dépression active ou ayant des antécédents de troubles ou de convulsions psychiatriques majeurs. Les médecins ont tendance à se démarquer de celui-ci, a déclaré le Dr Claire Gerarda, le président du Collège royal des médecins généralistes. Je wouldnt encourage, parce que je pense que ses effets secondaires désagréables obtenu. Je ne me souviens pas la dernière fois que je prescrit Lariam. Lariam: Les suicides, meurtres et incidents d'automutilation Le médicament anti-paludéen controversée Lariam a été liée à une série de suicides militaires, les meurtres et les incidents d'automutilation au cours des 20 dernières années. Le sergent-chef Robert Bales, le soldat américain qui a tué 16 civils afghans en 2012, avait pris Lariam tout en servant en Irak. Bien qu'il ne soit pas mentionné par son nom, un rapport d'événement indésirable a été fait pour Roche, les fabricants de la drogue, le 29 Mars 2012 à partir d'un pharmacien au sujet d'un soldat de l'armée sans nom. Le patient qui était un soldat dans l'armée américaine a développé un comportement meurtrier et a conduit à l'homicide tuant 17 Afghanis, il a dit. Le rapport, qui a été transmis à la Food and Drug Administration des États-Unis, selon le médicament avait été donné en contradiction directe avec les règles américaines militaires qui méfloquine ne doit pas être donné aux soldats qui avaient subi des TBI (d'une lésion cérébrale traumatique) en raison de sa propension à croix barrière hémato-encéphalique incitant un comportement psychotique, homicide ou de suicide. Le sergent-chef Robert Bales Casques bleus canadiens ont battu, torturé et abattu deux adolescents locaux en Somalie en 1993. Major Barry Armstrong, le commandant militaire de l'unité chirurgicale de la Somalie, dans un rapport daté Octobre de cette année, a déclaré: Je crois qu'il peut y avoir un montant supplémentaire, explication simple pour nos difficultés en Somalie: les troupes canadiennes et américaines a pu être compromise par l'utilisation de la méfloquine. En 2000, le caporal Kristian Shelmerdine, le régiment de parachutistes, se tire une balle dans le bras tout en servant en Sierra Leone. Il a blâmé l'accident sur la drogue, affirmant avoir eu de mauvais rêves et réveillé pour se retrouver coup, mais il a été reconnu coupable de décharge négligente. Deux ans plus tard, quatre soldats américains basés à Fort Bragg, en Caroline du Nord (dont trois avaient récemment revenu d'Afghanistan, où les troupes ont été prescrits Lariam) tué leurs épouses. Deux des soldats se faire tuer. En 2004, un réserviste de l'armée américaine se suicida en Irak quelques semaines avant qu'il devait rentrer chez eux. Dans un rapport de l'armée américaine qui a émergé suite, un psychiatre de l'armée a déclaré: si la toxicologie révèle la présence de la méfloquine, le cas de la CPS Torres doit être considérée à la lumière des autres suicides soupçonnés d'être associés à la drogue.




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